Pour piloter et gérer leurs achats directs, les entreprises les plus matures s’appuient le plus souvent sur leur ERP, et utilisent celui de SAP dans près de trois quarts (74 %) des cas. Selon le dernier sondage en ligne réalisé par Acxias, les ERP concurrents arrivent loin derrière, Oracle et Microsoft recueillant respectivement 11 % et 4 % de citations. Si un ERP fonctionne bien pour les achats directs, en connexion avec les modules de prévision de consommation, de production et de stock, la gestion des processus transactionnels pour les achats indirects nécessite en revanche une approche et des fonctionnalités spécifiques, plus proches des standards de l’e-commerce. Ces achats couvrent en effet de très nombreuses catégories de biens et services, et sont généralement délégués à une population très étendue de prescripteurs et d’utilisateurs finaux, aux profils très variés.